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  • Anne-Marie La Barre

Une solution partielle à la pénurie de psychologues au Québec

Je reçois souvent des appels de gens découragés. Ils tentent vainement de trouver un psychologue et les listes d’attente sont pleines ou le rendez-vous proposé est dans plusieurs mois. Dans le respect la loi québécoise sur le Code des professions, je peux souvent aider ces gens qui n’avaient pas d’abord pensé à communiquer avec un thérapeute en relation d’aide.


Loin de moi l’idée de penser que les thérapeutes en relation d’aide peuvent régler tous les problèmes d’accès à un psychologue. Néanmoins, plusieurs problématiques peuvent être abordés avec un thérapeute en relation d’aide. Ce dernier pourra aider le client à mieux se connaître, à identifier ses besoins, ses ressources et les stratégies qui pourront l’aider à être plus heureux, tant en relation que par rapport à lui-même.


Voici une liste des défis, enjeux et problématiques pour lesquels j’ai aidé des clients :

  • Faible estime de soi

  • Difficultés dans le couple

  • Relations familiales compliquées

  • Gestion du stress et des priorités

  • Remise en question

  • Période de vie difficile (ex. deuil, séparation, licenciement et autres)

  • Difficultés relationnelles au travail

  • Perte de repère

  • Manque de motivation

  • Volonté de travail sur soi pour continuer à s'améliorer comme personne

  • Questionnements spirituels

  • Gestion des émotions

  • Instabilité relationnelle

  • Tendance au sabotage



Je tiens à préciser que je ne rencontre que des adultes en individuel. J’ai des collègues thérapeutes qui accompagnent des couples et des enfants et adolescents.


Attention, la formation des thérapeutes en relation d’aide est bien claire sur les limites imposées à notre profession. La Loi modifiant le Code des professions et d’autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines (communément appelé le projet de loi no 21) est entrée en vigueur en 2009. Une frontière est maintenant très claire sur les actes réservés aux psychothérapeutes (incluant les psychologues).

Je me dois d’aviser et de référer un client qui est en dépression ou atteint d’anxiété et qui ne progresse pas dans sa démarche avec moi. De plus, les gens qui vivent un choc post-traumatique vont bénéficier davantage d’une approche ciblée que je ne propose pas. De même pour un client qui veut travailler un trouble de la personnalité. Si c’est cet aspect qu’il veut travailler, je le réfère automatiquement. Si, au fil des séances, je me rends compte que le client manifeste des traits liés à un trouble de la personnalité, je me dois de l’aviser et de le référer. D’ailleurs mes clients peuvent témoigner que tout cela est expliqué lors du premier rendez-vous. Je ne veux pas induire en erreur quelqu’un qui a besoin d’une expertise que je ne peux pas offrir.


Je me dis alors en respectant les modalités du projet de loi no 21, les clients qui vivent une problématique liée à celle qui figurent dans notre liste d’expertise, pourraient être avisés que nous pouvons les accompagner. J’ai eu plusieurs clients agréablement surpris de constater leur acheminement avec moi. Je vous invite d’ailleurs à aller lire ce que des clients avaient à dire que leur expérience avec moi sur ma page Facebook et sur ma page Google (que vous trouverez en "googlant" mon nom).


Au plaisir de faire votre rencontre!






S’il y a des sujets que vous aimeriez que j’aborde, faites-m’en part. Et si vous souhaitez me rencontrer pour vous aider à cheminer, communiquez avec moi. En tant que thérapeute en relation d’aide, je suis formée pour accompagner une clientèle adulte en séance individuelle. Les sujets abordés incluent entre autres : les enjeux relationnels, la quête d’estime de soi, les deuils, la recherche de sens, l’acceptation et le lâcher-prise, un questionnement professionnel et la gestion du stress. Pour m’écrire, c’est ici.

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